LOS ANGELES--(BUSINESS WIRE)--

EY : Le secteur des médias et du divertissement fait état d’une hausse remarquable de la confiance dans l’amélioration de l’expansion économique mondiale, conclut une enquête récente réalisée auprès de cadres dirigeants de grandes sociétés des médias et du divertissement

À l’orée de 2014, le secteur des médias affiche un niveau de confiance élevé dans l’économie mondiale, selon le 9^e sondage « Capital Confidence Barometer – Media & Entertainment », dont les résultats sont publiés par EY. Les sociétés de médias et de divertissement se montrent optimistes à propos de l’économie mondiale pour l’année à venir, car elles anticipent la croissance et l’amélioration du climat des fusions et acquisitions et prévoient le maintien ou l’accroissement de leurs effectifs actuels.

Soixante-huit pour cent des cadres dirigeants des médias et du divertissement estiment que l’économie mondiale connaît une amélioration, soit une augmentation sensible par rapport aux résultats de l’année dernière selon lesquels seuls 26 % d’entre eux pensaient que l’économie donnait des signes de reprise. Vingt-trois pour cent pensent que l’économie est stable, 4 % ont le sentiment qu’elle amorce un léger repli et 5 % estiment qu’elle se replie fortement.

Ce rapport provient d’un sondage réalisé auprès de cadres dirigeants de grandes sociétés de médias et de divertissement du monde entier. L’enquête évalue la confiance des entreprises dans l’économie, identifie les tendances observées dans les conseils d’administration et fournit un aperçu sur la planification des immobilisations par les entreprises.

En plus d’afficher une confiance globale dans l’économie mondiale, les cadres dirigeants des médias et du divertissement témoignent d’une confiance accrue dans d’autres domaines, par rapport aux résultats du sondage de l’an dernier. Cinquante-sept pour cent des cadres dirigeants ont indiqué avoir confiance dans la croissance de l’emploi, contre 20 % l’an dernier ; ils sont 52 % à afficher la même confiance dans les bénéfices des entreprises, se démarquant nettement des 5 % enregistrés un an plus tôt, et 43 % croient en la disponibilité du crédit, contre 10 % l’année dernière.

Le classement des priorités dans les conseils d’administration des sociétés de médias et de divertissement indique un changement de cap dans la mesure où 66 % des cadres dirigeants affirment que l’efficacité et le contrôle des coûts dans leurs entreprises reçoivent plus d’attention qu’il y a un an. La gestion des risques est la priorité essentielle de 60 % des conseils d’administrations, la gouvernance d’entreprise est celle de 57 % d’entre eux, tandis que pour 53 % d’entre eux, ce sont les relations avec les investisseurs, pour 50 % ce sont les questions de réglementations, pour 47 % il s’agit d’attirer et de fidéliser des collaborateurs talentueux et pour 43 %, la priorité est la répartition des dépenses d’investissement.

« Alors que se termine l’année 2013, il est manifeste que le secteur des médias et du divertissement affiche son optimisme à propos de l’année prochaine », observe Tom Connolly, directeur des services consultatifs pour les transactions mondiales dans les médias et le divertissement chez EY. « La confiance grandissante dans l’économie mondiale, la priorité sur les investissements dans les produits et services essentiels et l’amélioration des perspectives transactionnelles font toutes ressortir la possibilité de transactions plus importantes et plus significatives au sein du secteur des médias et du divertissement », poursuit-il.

Parmi les autres conclusions essentielles :

• Soixante-dix-neuf pour cent des cadres dirigeants des médias et du divertissement estiment que l’environnement réglementaire actuel favorise les initiatives de croissance des affaires.
• Soixante-treize pour cent anticipent une certaine croissance dans les 12 prochains mois. Soixante-deux pour cent pensent que l’économie mondiale connaîtra une croissance de 1 % à 3 %, 11 % pensent que celle-ci sera de 3 % à 5 %, 20 % pensent qu’il n’y aura pas de croissance et 7 % pensent que la croissance sera négative.
• Le secteur des médias et du divertissement connaît une sécurité d’emploi relative, seuls 13 % des cadres dirigeants indiquant prévoir une réduction de leurs effectifs. Cinquante-cinq pour cent prévoient le maintien de la taille actuelle de leur effectif et 32 % prévoient de l’augmenter.
• Quatre-vingt-cinq pour cent des cadres dirigeants considèrent que la disponibilité du crédit est soit stable soit en amélioration, et ils n’étaient que 55 % de cet avis il y a un an.
• Cinquante-sept pour cent des cadres dirigeants indiquent qu’ils prévoient d’utiliser une plus grande proportion des liquidités pour financer les transactions. Vingt-cinq pour cent indiquent une préférence pour le financement par l’emprunt, alors que 18 % sont davantage en faveur de l’émission d’actions pour le financement des transactions.
• Suite à une période d’incertitude, il semble que l’on ait affaire à un retour de la détermination à poursuivre le redressement, 53 % des cadres dirigeants déclarant que leur priorité au cours des 12 prochains mois sera la croissance, alors qu’ils n’étaient que 39 % de cet avis il y a un an. Trente-deux pour cent des cadres dirigeants ont indiqué que la réduction des coûts et l’efficacité de l’exploitation seraient leur priorité, laquelle serait le maintien de la stabilité pour 13 % d’entre eux.
• Soixante-quatorze pour cent des cadres dirigeants anticipent une augmentation du nombre des opérations de fusions et acquisitions l’année prochaine, 21 % pensent que ce volume restera stable et 5 % prévoient une diminution.
• Vingt-cinq pour cent des cadres dirigeants des médias et du divertissement s’attendent à ce que leur entreprise poursuive ses acquisitions l’année prochaine.
• L’année à venir, l’accent sera davantage mis sur les marchés émergents, 43 % des cadres dirigeants indiquant que leurs entreprises sont plus intéressées par ces marchés qu’il y a un an.

À propos du centre d’excellence mondial Médias et Divertissement d’EY

Dans un secteur régi par la créativité et l’innovation, la barre de l’excellence est haute. Vous devez être capables d’intégrer de nouvelles technologies, d’imaginer de nouveaux modèles de distribution et de répondre aux exigences d’un consommateur toujours plus insatiable. Dans le même temps, il est primordial de gérer vos coûts, de dépasser les attentes de vos parties prenantes et de vous conformer à de nouvelles réglementations. Il y a toujours un nouveau défi qui vous attend. Le centre d’excellence mondial Médias et Divertissement d’EY peut vous aider. Nous avons rassemblé une équipe mondiale hautement performante de professionnels des médias et du divertissement spécialistes des problématiques fiscales, de l’assurance, des transactions et du conseil mettant leur expertise au service des chefs de file du secteur. Notre réseau de professionnels collabore et partage son expertise dans le monde entier, offrant une qualité de service irréprochable à nos clients et tirant parti de notre position de leader du marché pour vous fournir une information rapide, pertinente et fiable.

À propos d’EY

EY est un chef de file mondial des services d’assurance, de fiscalité, de transactions et de conseil. Les perspectives et services de qualité que nous proposons aident à bâtir la confiance sur les marchés financiers et dans les économies du monde entier. Nous développons des leaders hors du commun qui s’unissent pour concrétiser nos promesses vis-à-vis de l’ensemble de nos parties prenantes. Nous jouons ainsi un rôle capital pour la construction d’un monde fonctionnant mieux pour notre personnel, nos clients et nos communautés.

EY désigne l’organisation mondiale, et peut renvoyer à l’une ou plusieurs des sociétés membres d’Ernst & Young Global Limited, chacune d’entre elles constituant une entité juridique distincte. Ernst & Young Global Limited, société britannique à responsabilité limitée par garantie, ne fournit pas de prestations aux clients. Pour de plus amples informations sur notre organisation, veuillez vous rendre sur le site ey.com.

Ce communiqué de presse a été émis par EYGM Limited, une société membre de l’organisation internationale EY qui ne délivre pas non plus de services aux clients.

Le texte du communiqué issu d’une traduction ne doit d’aucune manière être considéré comme officiel. La seule version du communiqué qui fasse foi est celle du communiqué dans sa langue d’origine. La traduction devra toujours être confrontée au texte source, qui fera jurisprudence.